Alice a fini ses études en sociologie qui la mènent nulle part professionnellement. Alors elle quitte Paris pour retourner dans la Meuse où elle peut habiter l’ancienne maison de sa grand-mère. Là aussi, il n’est pas facile de trouver un poste n’importe quel, alors elle finit par offrir des ateliers d’animation dans deux maisons de retraite. Toute contente qu’il y ait des pensionnaires intéressés à ce qu’elle propose elle commence son travail sans savoir ce qui l’attend là. Au fil des semaines, Alice et aussi les retraités commencent à se mêler dans la vie les uns les autres et une amitié exceptionnelle est formée.
« L’atelier des souvenir » est la lecture parfaite pour le printemps : c’est un roman léger, plein de vivacité et d’affection. Il est un peu doux-amer, car au début, la petit Alice est plutôt timide et triste, elle se sent non seulement seule et abandonnée, mais elle a des doutes concernant ses études et ses connaissances. C’est le contact avec les retraités et aussi avec les enfants à qui elle donne aussi des cours plus tard, qu’elle retourne dans la vie et devient de plus en plus vive.
A part cela, il y a une histoire d’amitié, plusieurs histoires d’amour et comme il s’agit d’un cour d’écriture, beaucoup d’histoires courtes diverses. J’ai vraiment adoré lire ce livre.
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